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il y a 3 ans
Journée de Rêve de bébé adulte soumise.
- Bonjour mon bébé, tu as bien dormi ?
- Humm, oui madame j’ai passe une excellente nuit et vous ?
- Oui très bonne, surtout que je t’ai préparé un programme spécial pour cette journée et que j’y ai pensé toute la nuit. Je suis dans un état d’excitation très avancé, mais pas touche tu n’y as pas droit tu le sais quand même, tu sais bien que les bébés n’ont pas de relation sexuelle voyons hihihihihi.
- Oui madame c’est vrai mais il y a longtemps que nous n’avions joué à la maman et au bébé et je suis un peu confuse, surtout que vous me dites avoir préparé un programme spécial et je ne suis pas au courant.
- Mais voyons mon bébé, celui-ci n’a pas à savoir ce que maman a prévu pour lui, il se laisse faire et n’a rien à dire.
- Allez lève toi vite et va te doucher, après ce bref intermède tu es un bébé jusqu'à ce que je le décide !! Je file sous la douche, me nettoie et m’épile méticuleusement, puis je me sèche et j’attends sagement madame dans mon peignoir. La surprise est totale lorsque la porte s’ouvre et que je découvre mademoiselle (l’amante de madame), je reste stupéfait car madame n’a jamais fait participer mademoiselle dans nos jeux jusqu'à présent. Mademoiselle m’a souvent vu en femme puisque c’est ma tenue lorsque je suis a la maison mais jamais nu et encore moins a une heure si précoce de la journée.
- Bonjour mon bébé, me dit elle. Je reste sans voix, car je ne savais pas que mademoiselle était au courant de mes penchants pour la régression.
- Bonjour, « balbutiai » je
- Surprise, surprise, et oui c’est moi qui commence à te préparer pour cette merveilleuse journée qui s’annonce, enfin pour nous parce que toi je ne sais pas si tu vas l’apprécier hihihihihi
- Viens avec moi dans la chambre que je te mette une couche avant d’aller déjeuner. Restant sur ma surprise, j’accompagne mademoiselle tel un pantin jusque dans la chambre, où une alèse en latex a déjà été placée sur le lit et je vois juste à coté une couche Tena maxi et 2 inserts.
- Allez couche toi, sur l’alèse que je protège ce petit popotin de suite. Je m’installe et mademoiselle me passe de la crème et du talc sur mon entrejambe avant de glisser sous mes fesses la couche et de placer les 2 inserts. Etant encore sous l’emprise de la surprise, mon petit robinet n’a même pas eu le temps de se réveiller que la couche se referme déjà sur celui-ci.
- Allez hop, en bas pour prendre ton petit déjeuner. J’arrive dans la cuisine, madame se retourne et me dit :
- Alors mon bébé, j’espère que tu as été bien surprise car ce n’est que le commencement de cette belle journée pour toi Mademoiselle se jette dans les bras de madame et après l’avoir embrassé voluptueusement lui dit :
- Tu aurais du voir sa tète, ma chérie, elle était magnifique, allez dépêchons nous que nous puissions passer à la suite des activités, j’ai hâte de ne me retrouver qu’avec toi mon cœur.
- Allez mon bébé, mets toi sur la chaise haute, je t’ai préparé 2 bons biberons de lait en poudre mais ce n’est pas de l’eau que j’ai mis pour diluer la poudre, tu t’en doutes ? Et la madame, éclate dans un grand rire, pour ma part, j’ai compris de suite, mademoiselle quant à elle est étonnée.
- Que veux tu dire par là, ma chérie ?
- C’est très simple, ma puce, aujourd’hui tu vas découvrir la vie de mon bébé qui est très spéciale, je t’avais prévenue.
- Notre bébé n’apprécie pas les bibis fait avec de l’eau, alors je les remplis avec mon urine et elle adore cela.
- Quoi, tu as fait son bibi avec ton urine et en plus elle aime cela, j’en apprendrai tous les jours. Bébé, tu m’étonneras toujours, mais si tu les aimes comme cela, je me ferai un plaisir d’y participer tu sais bien j’aime que mon bébé soit couvert de bonheur. Je ne sais plus où me mettre, je suis assis sur ma chaise haute, le regard scrutant le sol, les entendant débattre de mes penchants les plus intimes et je ne peux rien dire. Juste un jet d’urine du à la honte ressentie vient rencontrer le confort de ma couche. Madame se doutant bien de ma réaction a vite fait de remarquer que je venais de faire dans mes couches.
- Regarde tu as bien fait de la protéger, elle a déjà mouillé sa couche !
- Et bien dis donc mon bébé, tu vois pourquoi on doit te mettre des couches.
- Ma puce, donne lui son biberon si tu veux bien, je dois aller préparer la suite. Et voila mademoiselle qui se dirige vers moi avec ce biberon spécial entre les mains.
- Allez mon bébé, dévore le ce merveilleux biberon et regarde, madame a été généreuse avec toi il y en a un deuxième qui t’attend, après ces 600ml, tu devrais être repue. La tétine du biberon vient se glisser entre mes lèvres et je commence à téter avidement celui-ci. Mademoiselle vient poser ma tête contre sa poitrine et me caresse les cheveux tendrement.
- Voila mon ange, c’est bien, bois gentiment ce délicieux biberon ; Pas trop vite tu vas t’étrangler, voila doucement, profite bien de ce nectar. Et me voila une heure à peine que je suis debout et mademoiselle, l’amante de madame, est maintenant au courant que j’aime être un bébé, c’est elle qui m’a mis ma couche, qui me fait prendre le biberon et qui en plus sait que je préfère les biberons spéciaux. Dans quelle galère madame m’a mise, mais j’apprécie réellement ce moment qui est pour moi l’aboutissement de ce que je veux vivre, puisque madame c’est pris une amante du fait que je ne peux plus avoir de relations intimes avec elle, il est normal que celle-ci connaisse le pourquoi du comment et participe a ma régression.
- Et bien dis donc, mon bébé, on avait soif, ton premier biberon est fini. Allez on attaque le deuxième en vitesse, car après on va rejoindre ta madame et finir de te préparer. Tu ne pensais tout de même pas que je suis venue uniquement pour m’occuper de toi, c’est ta madame que je préfère.
- Par contre, j’adore les bébés et je me ferai un plaisir de m’occuper de toi et de toutes tes perversions. Je finis rapidement mon 2eme biberon, et mademoiselle me met la tête sur son épaule en tapotant gentiment dans mon dos.
- Allez mon bébé, fais nous ton petit rot.
- Mon amour, notre bébé a fini ses bibis, que veux tu que je fasse.
- Mets le au salon, et viens me rejoindre, j’ai besoin de ton aide. Sa tutute est sur le plan de travail.
- Ok j’arrive. Mademoiselle prend la tutute et me la met en bouche et va me coucher dans le divan.
- Sois sage, ne bouge pas, nous revenons de suite. Et mademoiselle me laisse là en plan, plein de choses traversent mon esprit, que font elles ? Que me préparent-elles ? Tant de question auxquelles je n’ai pas de réponse. Je commence à me rendre compte de la situation et mon excitation grandit au galop. Quelle merveilleuse journée qui s’annonce pour moi, même dans mes espoirs les plus fous je n’avais pensé à cela et pourtant cela se réalise. Je reste là, couché sur le divan, ma tutute en bouche durant un temps qui me parait interminable et j’entends s’affairer les deux plus merveilleuses choses qui me soient arrivées dans ma vie, madame, mon ex épouse depuis que nous avons décidé de vivre nos envies, et son amante mademoiselle. Je fais cette fois un long pipi dans mes couches en malaxant toujours cette tutute que j’apprécie énormément, les NUK c’est ce qu’il y a de meilleur. J’entends madame et mademoiselle qui arrivent et là de nouveau stupéfaction totale, elles se sont changées et ont revêtu des tenues en latex. Madame a revêtu sa tenue de chirurgienne, composé de bas blancs en latex et de son porte jarretelle a 10 attaches, du tablier vert de chirurgienne fixée dans le dos manches longues avec des rebords blancs, sa coiffe de latex verte aussi dans lequel est intégré un masque de latex transparent et de son masque de protection devant la bouche en latex blanc. A ses pieds, de merveilleuses bottes talons hauts en latex aussi, blanche avec des lignes rouges sur le pourtour et l’écusson de la croix rouge sur les cotes. Je reste sans voix devant la beauté qu’elle dégage, même si j’ai déjà vu cette tenue, aujourd’hui elle parait rayonnante dans celle-ci. Mademoiselle porte quand a elle une tenue de nurse, bas transparents en latex avec son porte jarretelle à 10 attaches. Une robe moulante en latex bleu ciel avec des frous frous blancs sur tous les pourtours et laissant les seins libres. Une coiffe bleue ciel avec le même style de masque en latex transparent hyper fin moulant bien tous les détails du visage et comme madame un masque de protection en latex blanc vient recouvrir sa bouche et son nez. Un boléro de latex blanc, venant se refermer sur le cou, vient se poser délicatement sur sa poitrine la cachant à des regards inconvenants. Enfin un grand tablier de latex blanc vient parachever sa tenue. Elle est chaussée de magnifiques escarpins en vinyle blanc.
Je reste estomaquée par ces tenues et heureusement que j’ai ma tutute en bouche car je crois que ma mâchoire se serait décollée toute seule aussi non.
- Voila mon bébé, nous sommes prêtes pour ton équipement de la journée, profite bien de ces quelques instants ou tu peux admirer nos tenues, bientôt c’est fini.
- Ma chérie, tu peux emmener notre bébé dans la chambre, installe là sur le lit. Et me voila tenue par la main, encadrée par ces deux charmantes créatures, emmenée sur le lit.
- Tout d’abord, dis madame, nous allons mettre des gants stériles, car bébé est très sensible et toutes les mesures d’hygiène doivent être prises. Ma puce, attrape le premier sachet la, et enfile ces gants en latex. Par après tu feras très attention car tout le reste est stérile. Je vois mademoiselle enfiler la première paire de gants, ensuite elle ouvre un autre sachet pour enfiler la première paire de gants en latex a madame. Madame ouvre un deuxième sachet et les mets à mademoiselle, ce sont des longs gants en latex chirurgicaux mais pour la gynécologie, très longs qui remonte jusqu’au coude. Mademoiselle procède de la même façon sur madame et je vois ces deux merveilles devant moi les mains relevées gantées de latex.
- A nous deux, me dit madame. Je la vois prendre sur la desserte une petite boite blanche, qu’elle ouvre délicatement avant de la montrer à mademoiselle.
- Tu vois ma chérie, dit madame, ce sont des lentilles spéciales que j’ai fait faire, en fait elles sont noires et donc des qu’on les a mises sur la personne elle ne voit plus rien mais elle peut garder ses yeux grands ouverts et comme l’extérieur représente un iris, on dirait qu’elle nous regarde mais en fait non, magique n’est ce pas.
- C’est génial comme truc, et comme cela bébé ne nous verra plus.
- Non elle ne verra plus rien, allez prends la boite et viens prés d’elle que je lui place ses lentilles.
- Voila mon bébé, sois sage, c’est pour ton bien que nous faisons cela, tu le sais n’est ce pas ? Et j’acquiesce en inclinant la tête. Madame, prend la première lentille et des ses mains expertes, me la place sans difficulté, elle réitère l’opération sur le second œil et en un instant, je ne vois plus rien.
- Mon dieu, c’est magnifique, dis mademoiselle, on dirait qu’elle a les yeux grands ouverts et là elle ne voit plus rien.
- Non rien du tout, répond madame, elle ne nous voit plus, juste les souvenirs de nos tenues sont présentes dans sa petite tête, mais ne t’inquiète bébé adore cela.
- Allez passons a la suite. Je sens des mains passer du lubrifiant sur mes jambes, et on me remonte des bas en latex sur chacune de celle-ci.
- Voila, mon bébé, on t’a déjà placé tes bas en latex blancs sur tes jolies petites jambes. On va maintenant te placer ton porte jarretelles mais pour cela il faut que l’on retire ta couche, tu restes bien tranquille n’est ce pas. J’entends les scratchs lorsque l’on défait ma couche et bien entendu mes émotions étant très fortes, je présente honteusement à mes deux déesses une érection qu’une petite fille comme moi ne devrait pas avoir.
- Qu’est ce que je t’avais dit, mon bébé, tu es incorrigible je vais devoir sévir tant pis pour toi, je t’avais prévenu.
- Mon cœur, fixe lui le porte jarretelle en faisant bien attention de ne pas toucher cette chose immonde, je prépare de quoi m’occuper ce cela. Mademoiselle, âpres m’avoir retiré ma couche sale, me fait légèrement tourner sur le coté pour fixer le porte jarretelle à ma taille et puis fixe chacune des jarretelles aux bas. Pendant ce temps, j’entends madame qui s’affaire sur la desserte en remuant je ne sais quoi sur celle-ci. Mademoiselle ayant termine son ouvrage se retourne sur madame et lui dit :
- Voila c’est fait, ouh la c’est quoi tout cela tu m’expliques.
- Bien sur mon cœur, lui dit elle en lui décochant un merveilleux smack sur, je suppose, sa bouche.
- Alors la, j’ai une seringue remplie d’anesthésiant à effet rapide mais très court, ce qui permettra à ce que cette chose retrouve une taille minimale durant la suite de son traitement. Tu verras moins d’une minute après l’injection, la chose redeviendra insignifiante et on pourra lui faire subir ses traitements avant qu’elle ne recouvre « la vie ».
- L’inconvénient c’est que le produit est douloureux à l’application mais bébé n’avait qu’à se montrer plus coopératif et puis crois moi avec la suite du traitement je pense que bébé aurait préféré n’avoir que l’anesthésiant.
- A coté tu as tout le nécessaire pour poser une sonde de Foley, c’est une sonde que l’on introduit dans le zizi et qui va jusqu'à la vessie ; après on gonfle un petit ballonnet qui empêche le retrait et on a un bébé incontinent pour de vrai.
- A cote ce petit appareil rond est un clapet anti retour, ce qui permet de ne pas risquer une infection en laissant le canal ouvert avec la sonde.
- Et ensuite le must pour cette petite cochonne, une cage de chasteté en acier avec un trou au bout pour laisser passer la sonde et surtout, comme tu peux le voir, pleins de picots à l’intérieur. Crois moi ça va lui faire passer l’envie d’être excitée. De plus ce modèle est équipé de capteurs et d’électrodes qui font de cet objet une merveille.
- En fait, mon amour, je pensais être dégoutée par tout cela, dit mademoiselle, mais en fait cela m’excite terriblement dis donc.
- Tant mieux ma chérie, on pourra faire cela plus souvent encore alors. Bon, on va l’attacher car il ne va pas apprécier le traitement, et ce n’est que le début mon bébé. Je sens que l’on attache très fermement chacun de mes poignets et puis mes jambes en prenant bien soin de fixer mes cuisses largement ouvertes pour que je ne puisse absolument pas bouger. On me place une minerve autour du cou et j’entends madame dire :
- Il faut qu’elle ne puisse pas bouger, c’est pour son bien, tu vois si on laissait sa tête libre, avec les mouvements de révolte qui ne servent à rien, elle pourrait se faire mal. On me pose un champ stérile sur mon entrejambe et j’entends madame demander à mademoiselle de lui passer la seringue. Quelques secondes après, je sens l’aiguille s’enfoncer et aussitôt une brulure envahir mon sexe.
- Mets toi sur elle, dit madame, il ne faut pas qu’elle bouge. Et je sens mademoiselle venir déposer son séant sur mon visage coinçant mes bras de ses jambes et appuyant sur mon torse avec ses bras. Aussitôt de merveilleuses effluves viennent caresser mes narines et je sens aussi que l’excitation de mademoiselle est à son comble, je la sens littéralement couler sur mon visage.
- Eh bien dis donc, dis madame, voila une belle position, fais attention à ce qu’elle ne te touche pas !!
- Ne t’inquiète mon cœur à part se sentir, bébé ne sait rien faire car sa tutute est bien calée et comme cela je vois bien ce que tu fais à notre petit ange. Et puis comme cela bébé peut bien se rendre compte comme j’aime lui faire plaisir Et la dessus, madame repique et réinjecte le produit en veillant bien a ce qu’il y en ai partout. Je crie et je pleurs de douleurs, les différentes injections sont douloureuses mais incroyablement efficaces, pas le temps d’avoir terminé que je sens ma chose devenir toute flasque et ridicule.
- Et voila, dis madame, tu as vu l’effet c’est radical. Maintenant, on décalotte à fond, je mets autour de la peau un peu de sparadrap médical comme cela le gland restera bien découvert.
- Maintenant on désinfecte le tout jusqu'à la base, les petites bourses aussi et puis je prends la seringue de lubrifiant et hop dans le petit trou. Et je sens le lubrifiant s’introduire en moi profondément.
- Tu vois je suis obligée de bien mettre du lubrifiant normalement on sonde avec un sonde FR14 qui représente un diamètre de 4,7mm, mais le clapet anti retour étant plus large, je suis obligée de la sonder avec un FR24 qui a un diamètre de 8.0mm.
- Et voila la sonde, je vais la sortir de son emballage stérile.
- Oh oui, mon cœur c’est vrai qu’elle est énorme.
- Oui je sais et j’en suis désolée mais la sécurité de mon petit bébé est plus forte que tout et avec le clapet je suis sure qu’elle n’aura pas d’infection. Bon tu vas voir, elle va se crisper car c’est douloureux aussi mais après elle va se détendre complètement. Tu verras quand l’urine sortira, ça veut dire que nous avons atteint la vessie, il ne reste plus qu’à injecter les 10mm de liquide phy pour gonfler le ballonnet et la sonde sera en place. Je sens la sonde pénétrer le bout de mon urètre et déjà le distendre et puis lentement mais surement avancer cette sonde vers son but, ma vessie. La douleur est là et je me crispe fortement mais mademoiselle me tient bien et inexorablement la sonde poursuit son chemin jusqu’au moment ou mon urine commence à sortir toute seule.
- Je vais d’abord lui mettre un clamp, ce qui empêchera l’urine de sortir, on lui mettra le clapet en dernier lieu, finissons de s’occuper de cette chose. Madame, attrape la ceinture de chasteté, place l’anneau principal derrière mes bourses et mon sexe et referme la coque enfermant mes bourse, elle referme le tout avec une petite vis spéciale qui ne peut s’enlever qu’avec le bon instrument.
- Comme tu peux le voir ma chérie, ses petites boules sont déjà bien protégée, tu as senti sa crispation lorsque je l’ai refermée c’est du à l’effet des piques qui sont à l’intérieur et elles sont bien au repos pour l’instant, imagine quand ça va se réveiller et se détendre les sensations que notre bébé va endurer. Madame place maintenant la sonde à travers le tube de la cage et vient enserrer mon sexe dans le carcan métallique. En le refermant celui-ci vient ne faire qu’un avec l’autre partie et deux petites vis viennent fixer les deux éléments ensembles les rendant inséparables. Il ne sort plus que la sonde bien visible sur cet ensemble métallique d’alu brossé.
- Voila tu peux relâcher ton étreinte, c’est tout pour le moment a cet endroit.
- On va s’occuper du haut de son corps maintenant. On me redresse et me fais passer un soutien gorge équipé lui aussi d’électrodes et de deux petites cloches à vides.
- Fais bien attention a ce que ses tetons soient bien dans les cloches avant de fixer le soutien. Mademoiselle prend bien soin de placer les cloches sur mes tétons après avoir place du lubrifiant à l’intérieur de ceux-ci pour bien permettre de faire glisser le téton à l’intérieur et s’assurer ainsi que l’élongation des tétons soient maximales. Le soutien épousant parfaitement ma poitrine est refermé derrière, mademoiselle et madame admire le résultat en faisant glisser leur doigts sur ceux-ci ce qui me provoquent une vague de frissons.
- Regarde, elle se rend compte de ce qu’elle va subir tout à l’heure, enfilons lui ce top moulant en latex transparent, celui-ci permettra de bien comprimer le soutien sur sa petite poitrine et empêche, accessoirement, de pouvoir retirer celui-ci.
- Mais de toute façon, crois moi ma belle, elle ne saura pas se libérer avec ce qu’on lui a prévu, mais deux précautions valent mieux qu’une. Deux longs gants en latex blancs sont également ajoutes a ma tenue et par-dessus ceux-ci, on vient ajouter des moufles gonflables à mes mains fixes par des cadenas. Les moufles sont ensuite gonflés.
- Tu vois ma chérie, dis madame, l’avantage de ces moufles est qu’une fois en place et bien gonflés, notre petit bébé n’a plus du tout la possibilité d’utiliser ses mimines.
- C’est extraordinaire ce que l’on fait a l’heure actuelle pour être certaine que nos bébés ne puissent être maitres de leur mouvement, réponds mademoiselle. On m’enlève ma minerve et ma tutute et on me place un masque en latex sur la tête représentant un mignon petit visage de bébé, laissant les yeux libres et la bouche ainsi que deux ouvertures pour mes narines avec des petits tubes à l’intérieur.
- D’abord placer les deux tubes dans ces narines, dis madame, Ces deux petits tubes traversent les narines et redescendent jusqu'au fond de sa gorge assurant ainsi qu’elle puisse respirer. Puis on pourra placer le masque et le fixer. Le passage de ces deux petits tubes est éprouvant mais des qu’ils sont en places ma capacité à respirer est maximale. Après la fixation du masque vient le placement d’une autre minerve en latex blanc également recouvrant entièrement mon cou jusque derrière mes oreilles et descendant sur mes épaules. Celle-ci placée et fixée m’empêche tout mouvement de ma tête.
- Remets lui sa tutute, dis madame, on en a fini pour le moment avec le haut de son corps. Passons à la suite de l’opération.
- C’est bientôt fini mon bébé, tu vas pouvoir bientôt aller te reposer dans ton lit cage pendant que nous allons nous amuser, mon amante et moi.
- Veux-tu bien enduire son petit trou de lubrifiant pendant que je prépare la suite, ma puce.
- Bien sur, mon amour, de suite. Et je sens mademoiselle s’appliquer à me mettre du lubrifiant sur mon petit trou en prenant bien soin de glisser deux doigts à l’intérieur.
- Voila mon bébé, me dit elle, c’est pour ton bien laisse toi faire, ça va te faire du bien mon ange. Madame, revenue près de son amante lui dit :
- Regarde ma chérie, maintenant que son petit trou est bien lubrifié, on va lui introduire ces suppositoires afin d’être sur que notre bébé n’ait pas de constipation. Puis on lui introduira ses deux poires d’eau afin de bien les faire pénétrer profondément et ensuite on lui mettra un petit bouchon afin de bien laisser agir et de permettre de terminer son équipement pour sa journée de repos. Tu t’occupes des suppos, il faut en mettre 5.
- Bien volontiers mon cœur, notre bébé est si accueillant que je ne m’en priverai pour rien au monde. Et je sens le premier suppo me pénétrer, elle le pousse avec son doigt bien profondément, suivi des quatre autres procédant de la même manière.
- Voila maintenant à moi, dit-elle Et je sens la canule de la poire me pénétrer et vider son contenu dans mes entrailles aussitôt suivie de la deuxième.
- Maintenant on va bouchonner tout cela que ça puisse agir tranquillement. Prends-moi le tampax maxi sur la desserte et donne le moi ma puce.
- Un tampax ? dit mademoiselle
- Et oui un tampax répondit madame, de un parce que notre bébé est une petite fille et que si elle est indisposée, elle doit mettre un tampon et deux parce que avec l’eau injectée, le tampon va bien se dilater et obturer provisoirement son petit trou laissant agir tranquillement les suppos.
- Dépêchons nous maintenant, d’abord retirer le clamp et placer le clapet anti retour sur sa sonde, et ensuite prends les 6 inserts et la couche tena maxi et place lui si tu veux. Je sens que l’on tripote à ma sonde, puis Je sens mes jambes se relever et la couche glisser sous mes couches, puis les inserts et enfin on referme le tout.
- Voila bien veiller a ce que les fils soient au dehors de la couche. Prends le body en latex blanc et mets-lui si tu veux. Ensuite la grande culotte en latex rose avec les froufrous blancs et puis on lui mettra sa petite robe baby doll.
- Encore fixer son petit bonnet et on peut la conduire à son lit cage. Après m’avoir mis debout, on me fait tourner sur moi-même.
- Regarde comme elle est mignonne comme cela, dis madame.
- Merveilleuse, une vraie petite fille bien gentille toute belle dans sa tenue en latex, ça lui va merveilleusement bien dis donc. On me conduit dans la petite chambre et on me dépose sur le lit.
- Allonge-toi mon bébé, me dit madame. Et je m’allonge gentiment sur le lit, je sens que les draps sont en latex aussi et que il y a dessus des genres de grandes bandes dont je ne connais l’existence.
- Surprise, mon bébé, je les ai reçues la semaine dernière me dit madame. C’est tout le système segufix de maintien que j’avais commandé.
- Tu vois ma puce, avec toutes ces attaches, utilisées dans le milieu médical, on peut réellement contraindre quelqu’un à rester au lit et c’est notre bébé qui va en profiter aujourd’hui. Tu remarques aussi que j’ai mis des beaux draps en latex rose dans celui-ci afin d’éviter de tacher le matelas et puis c’est plus confortable pour elle. Je sens la première bande passer sur mon ventre, une bande passe sur mon épaule droite et puis une autre sur mon épaule gauche, le tout relie à la ceinture ventrale et puis j’entends un petit clic.
- Le système de fixation est fait avec des aimants, pas moyen de les enlever si tu as n’as pas la clef spéciale adaptée. Je sens que l’on chipote à mon épaule gauche suivi d’un petit clic et puis l’épaule droite et le même petit clic.
- Là on fixe les renforts au niveau des épaules, ce qui empêche notre bébé de se relever, dit madame. On s’affaire à mes cuisses et de nouveau les mêmes petits clics.
- Là, on fixe ses cuisses, ce qui veux dire qu’elle ne peut ni resserrer ni écarter ses petites cuisses. La même opération est réalisée sur mes pieds et je sens une lanière complémentaire être déposée sur mes deux chevilles, suivie du petit clic qui me confirme que les attaches sont en place.
- Tu vois, dis madame, là on fixe chacun de ses petits petiots et en plaçant cette courroie au dessus, on empêche qu’elle puisse relever ses pieds.
- On va procéder de même avec ses bras et ses poignets, et comme cela plus de possibilité de se dégager, n’est ce pas bébé ? Je tente vainement de hocher de la tête mais c’est impossible.
- Regarde, malgré sa minerve, elle essaie de bouger la tête, et bien tu sais mon bébé j’ai pense à tout. Et je sens une lanière venir se refermer sur mon front, m’empêchant définitivement tout mouvement.
- Et voila tout bien sanglé dans son lit. Maintenant nous allons relier les différentes électrodes et capteur et ensuite on pourra la laisser se reposer. Les différentes électrodes et capteur sont relies à un terminal que madame programme.
- Tout d’abord programme excitation, de manière aléatoire, la programmation va diffuser des petites impulsions électriques que ce soit sur sa chose ou sur ses tétons et faire travailler les pompes comme si on tétait ses petites mamelles.
- Ces programmes vont bien exciter notre petit bébé et faire gonfler son petit sexe. Oh j’oubliais, elle a sa cage de punition, ce qui veut dire que sa petite vermine va se prendre dans les pics de sa cage et qu’elle va souffrir terriblement.
- Excitée et puis douleur, excitée et puis douleur, la pauvre je suis triste pour elle, dit madame en éclatant de rire.
- Mon pauvre petit bébé, répondit mademoiselle en me caressant la joue.
- Le deuxième programme est lui programmé sur l’état d’humidité de sa couche et la c’est un programme de punition qui se déclenche, aspirant à fond ses mamelles et donnant que grosses impulsions électriques. Et oui il faut lui faire comprendre qu’elle est une sale fille dit madame.
- Oh la vilaine, tu as raison, dit mademoiselle, elle doit être punie si elle n’est propre.
- Voila, elle est prête, juste relever le drap en latex et refermer sa cage que nous condamnerons avec des cadenas on n’est jamais trop prudente. Je sens le drap de latex venir m’enrober délicieusement et les montants métalliques du lit être relevés ainsi que le toit, puis les clics des cadenas.
- Fais de beaux rêves mon bébé, me dit en cœur mademoiselle et madame, a tantôt.
J’entends la porte qui se referme et puis le vide absolu. Mes sensations sont divines, je ressens la chaleur du latex m’envahir, je suis terriblement bien. Je ne peux absolument pas bouger, tout est réglé au millimètre près. Je sens ma cage être au plus près de ce qu’il me reste comme attribut masculin et de temps en temps les picots venir me faire un petit coucou, réveillant un spasme en moi. Les suppos commencent à agir et je ressens d’énorme gargouillis dans mon ventre mais le tampon fait bien son office et je ne peux pour le moment rien expulser. Mes tétons sont irradiés dans les petites coques sous vide et je ressens un bien être général qui lentement me plonge dans les bras de Morphée. Depuis combien de temps suis-je ainsi, je n’en ai aucune idée, que vont faire mes deux plus belles choses de ma vie, je n’en ai aucune idée mais j’imagine qu’elles font se faire l’amour délicatement usant et a b u s a n t des belles tenues qu’elles avaient enfilées pour moi au départ et qui maintenant doit encore leur procurer plus de plaisir que ce qu’elles n’ont eu à m’équiper ainsi. Soudain, je ressens de petits picotements dans mon entrejambe et dans mes seins et au moment ou je ressens que mes tétons sont aspirés, je comprends que le programme 1 est en route, pour combien de temps je n‘en sais rien mais une chaleur commence à m’irradier tout le corps et particulièrement le bas du ventre. Puis l’excitation augmente et je sens que mon appendice masculin se réveille et une petite douleur apparait. Douleur qui grandit au fur et à mesure que mon excitation monte, ça fait mal, j’ai bon et j'ai mal en même temps. La douleur est dure à supporter et je me mets à crier, ce qui fait que ma tutute tombe et que mes cris percent le silence qui règne dans la pièce. J’essaie de bouger pour échapper à cette douleur mais impossible et puis d’un coup, j’entends la porte s’ouvrir.
- Qu’est ce qu’il se passe ici, me dit madame. Oh la pauvre chérie, le programme excitation est à son comble, elle doit se tordre de plaisir et de douleur, la pauvre petite.
- C’est pour ton bien que je te fais cela et toi tu me remercies en criant a tue tête. Je suis désolée, mon bébé, mais tu devras supporter tout le traitement et je ne veux plus t’entendre tu ne me laisses pas le choix ! Je sens sur mes lèvres se poser quelque chose, je crains le pire.
- Allez mon bébé, ouvre la bouche que je te mette ton bâillon de punition, tu ne me laisses pas le choix ! J’ouvre la bouche et je sens le bâillon pénétrer celle-ci. Composé d’un arc de cercle venant entourer mes deux rangées de dents, il est équipé d’une poire gonflable qui viendra bloquer ma langue lorsque celui-ci est gonflé, fixé à l’extérieur de manière à ce que je ne puisse bouger ma mâchoire, madame se fait une joie de gonfler celui-ci a l’extrême, heureusement que j’ai les tubes dans le nez sinon je ne saurais plus respirer. Son œuvre terminée, il m’est impossible de pouvoir émettre le moindre son. Des larmes se mettent à couler de mes yeux mais madame ne remarque rien.
- Voila mon bébé et je ne veux plus t’entendre ! A tantôt peut être, ne bouge pas sois bien sage. Et la porte se refermer derrière moi, je suis à la complète merci de la machine infernale et de ses programme qui s’enchainent relançant continuellement mon excitation et de ce fait mes douleurs. Mon dieu, pourquoi n’ai-je pas été fille dés ma naissance…. Mais la douleur et l’excitation laisse place à ce que je crains le plus. J’ai maintenant de grosses crampes dans mon ventre et je sens que je ne vais pouvoir me retenir plus longtemps. Ce qui veut dire que comme je sens mes couches déjà bien humides dues à ma sonde, que le niveau d’humidité sera atteint si je me lâche dans mes couches et cela entrainera le mode punition programmé par madame. Je me concentre un maximum pour me retenir mais c’est très dur avec l’excitation et les douleurs de l’autre cote, heureusement mon tampon fait encore office de bouchon pour le moment.
Les crampes sont terrifiantes et parcourent l’ensemble de mon ventre, au début elles étaient espacées et faibles, mais plus le temps passe et plus elles sont rapprochées et violentes. Je ne tiendrai plus longtemps comme cela. C’est au moment où je me dis que l’inévitable est atteint que j’entends la porte s’ouvrir et madame et mademoiselle rentrer dans la pièce. Après avoir consulté le programmateur, elle dit :
- Génial mon cœur, notre bébé s’est pas encore lâché, on va pouvoir lui donner du réconfort pendant sa punition. J’entends les cadenas du lit s’ouvrir et les pans se rabattent sur les cotes. Je sens qu’on dégonfle le bâillon et puis on me le retire.
- Mon bébé, nous avons décidé de te supporter dans ton épreuve de punition, comme tu peux t’en douter, nous avons pris beaucoup de plaisir et nous allons t’en faire profiter, j’espère que cela t’aidera à supporter ta punition.
- Tu vois comme nous sommes gentilles avec toi, répondit mademoiselle. La dessus madame se met à califourchon sur moi et présente à ma bouche son divin coquillage dont je reconnais immédiatement le gout. Elle est trempée, elle dégouline littéralement, j’ai du mal à tout avaler tellement elle est excitée.
- Tu vois mon bébé, nous avons pris beaucoup de plaisir dit-elle. Je lape, je lèche, j’avale tout ce qui vient, c’est bon et délicieux et il est vrai que mes crampes se sont éloignées de mon esprit même si elles sont encore bien présentes. Malgré tout, une plus v i o l e n t e s que les autres m'a fait lâcher un cri de douleur.
- Viens ma chérie, prends ma place tu vas voir elle est sur le point de se lâcher, tu dois profiter de ce moment pendant qu’elle sera occupée à te lécher. Madame se retire et je sens mademoiselle prendre sa place. Délicieux nectar auquel je n’avais encore gouté encore plus abondant que madame, elle suinte littéralement de liqueur délicieuse. Madame me caresse le ventre en me disant
- Vas y mon bébé, tu peux te lâcher tu es bien protégée, oui tu vas être punie pour cela mais c’est pour ton bien tout cela. Les crampes, les paroles de madame, la liqueur de mademoiselle, l’excitation font qu’à cet instant précis je suis dans un autre monde, au paroxysme du plaisir ultime et dans une crampe fulgurante, je me lâche complètement, je me vide dans ma couche, mon tampon a lâché et je sens tout l’effet des suppos produire leurs inévitables sentences. Aussitôt, le capteur d’humidité déclenche, lançant le programme punition dans le même laps de temps. Mes tétons sont violemment aspires au maximum de leur étirement, de v i o l e n t s chocs électriques sont envoyés dans mon sexe et dans mes tétons, me provoquant des spasmes et une douleur violentes, j’hurle mais l’abricot de mademoiselle est bien calé sur mes lèvres et aucun son ne sort de celle-ci. Je sens que cela a particulièrement mis mademoiselle dans tous ses états et sa liqueur vient envahir ma gorge complètement, je la sens tressaillir de jouissance sur moi, elle explose littéralement et moi aussi. Tout cela dure un temps que je ne saurais déterminer mais à la fin, la machine s’arrête, j’ai encore des spasmes et des crampes qui s’amenuisent gentiment me laissant planer dans un état second. J’entends madame dire :
- Retire toi ma douce, nous allons maintenant lui donneràa boire comme il se doit a cette gentille petite fille. Mademoiselle se retire et je sens que l’on m’insère quelque chose dans la bouche, sorte d’entonnoir, laissant la bouche grande ouverte, fixe sur ma minerve.
- Mon bébé, nous allons te donner à boire directement depuis la source, tu avaleras tout comme la charmante petite fille que tu es. Et madame de se replacer au dessus de moi, je sens tout à coup sur ma langue une goutte, puis deux, puis un jet et je devine que madame est en train d’uriner dans l’entonnoir me donnant à boire son urine que je m’empresse d’avaler du mieux que je peux. Les dernières gouttes absorbées, madame laisse directement sa place à mademoiselle qui procède de la même manière me laissant déguster son urine. Âpres en avoir terminé, madame me retire mon entonnoir, débranche le programmateur, me remet ma tutute et branche une petite musique.
- Voila laissons la se reposer maintenant, il faut qu’elle reprenne des forces. Les montants du lit sont relevés, et j’entends avant de tomber dans les bras de Morphée, les clics des cadenas qui me confortent dans la sécurité de mon lit cage.
Vraiment agréable a lire beaucoup d'imagination cela rend sa originale J'ai adoré se Récit bravo | |
Je ne sais pas si j'adorerais cela ! Mais léché les sécrétions des dames hummmmm.. | |
Trop mignon, merci pour cette histoire | |
Très sympa ce récit, merci ! | |
Superbe histoire que j'aimerais subir |
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